À PLUS TARD

7,00 

L’expérience discographique paraît également chez Denis Badault, le fruit d’une démarche liée à l’action mûrie dans la réflexion : « J’aime réfléchir à la forme. Le disque reste un objet artistique qui doit résister à la durée. Il faut d’abord que le répertoire murisse. On a donc attendu le printemps 1992 pour enregistrer le premier…

Date de sortie : 1992
Label Bleu • LBLC 6554
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Description

L’expérience discographique paraît également chez Denis Badault, le fruit d’une démarche liée à l’action mûrie dans la réflexion : « J’aime réfléchir à la forme. Le disque reste un objet artistique qui doit résister à la durée. Il faut d’abord que le répertoire murisse. On a donc attendu le printemps 1992 pour enregistrer le premier disque de cet ONJ. Par ailleurs, le disque ne peut pas être l’exact reflet de la scène. Il se conçoit différemment pour la simple raison que le feeling du spectateur dans la salle n’est pas le même que celui du mélomane dans son salon ! Mon mandat comptait trois saisons, j’ai donc essayé de donner du sens à cette dimension. Le premier disque, À plus tard, ne présente que mes compositions enrichies par quelques magnifiques chorus des musiciens de l’orchestre. Le deuxième, Monk Mingus Ellington, tente de répondre à la question : qu’est-ce que l’appropriation ?Le troisième, Bouquet final, laisse la plume à quelques musiciens de l’orchestre. » Par un clin d’œil assez éloquent, ce troisième album est enregistré live au Théâtre Dunois, l’endroit même où s’était clos le premier chapitre de la Bande à Badault. Dernier disque publié alors que le directeur musical clôturait son mandat mais qui a pu exister grâce à trois personnalités intimement liées à l’orchestre : Jean-Christophe Bonneau (l’administrateur), Michel Orier (Label Bleu) et Alain Cluzeau (l’ingénieur du son).

Tracklist

  • 01. For K.W.
    (Denis Badault)
    10:05
    playstop
  • 02. Cool Couches
    (Denis Badault)
    10:05
  • 03. Les 3 S
    (Denis Badault)
    11:31
  • 04. Lent et long
    (Denis Badault)
    05:04
  • 05. Cool Couches « Le retour »
    (Denis Badault)
    05:29
    playstop
  • 06. Avant à plus tard
    (Élise Caron, Xavier Desandre-Navarre, Laurent Hoevenaers)
    02:59
  • 07. À plus tard
    (Denis Badault)
    07:22
    playstop
  • 08. Un instant peu raisonnable
    (Denis Badault)
    10:08

ÉLISE CARON voix
PHILIPPE SELLAM saxophones
SIMON SPANG-HANSSEN saxophones
RÉMY BIET saxophones
CLAUDE EGEA trompette, bugle
CLAUS STÖTTER trompette, bugle
GEOFFROY DE MASURE trombone
JEAN-LOUIS POMMIER trombone
DIDIER HAVET tuba
DENIS BADAULT piano, direction
LIONEL BENHAMOU guitare électrique
HEIRI KAENZIG contrebasse, basse électrique
FRANÇOIS LAIZEAU batterie
XAVIER DESANDRE-NAVARRE percussions
NEDIM NALBANTOGLU violon
LAURENT HOVENAERS violoncelle

Description

L’expérience discographique paraît également chez Denis Badault, le fruit d’une démarche liée à l’action mûrie dans la réflexion : « J’aime réfléchir à la forme. Le disque reste un objet artistique qui doit résister à la durée. Il faut d’abord que le répertoire murisse. On a donc attendu le printemps 1992 pour enregistrer le premier disque de cet ONJ. Par ailleurs, le disque ne peut pas être l’exact reflet de la scène. Il se conçoit différemment pour la simple raison que le feeling du spectateur dans la salle n’est pas le même que celui du mélomane dans son salon ! Mon mandat comptait trois saisons, j’ai donc essayé de donner du sens à cette dimension. Le premier disque, À plus tard, ne présente que mes compositions enrichies par quelques magnifiques chorus des musiciens de l’orchestre. Le deuxième, Monk Mingus Ellington, tente de répondre à la question : qu’est-ce que l’appropriation ?Le troisième, Bouquet final, laisse la plume à quelques musiciens de l’orchestre. » Par un clin d’œil assez éloquent, ce troisième album est enregistré live au Théâtre Dunois, l’endroit même où s’était clos le premier chapitre de la Bande à Badault. Dernier disque publié alors que le directeur musical clôturait son mandat mais qui a pu exister grâce à trois personnalités intimement liées à l’orchestre : Jean-Christophe Bonneau (l’administrateur), Michel Orier (Label Bleu) et Alain Cluzeau (l’ingénieur du son).

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